Les beautés iconiques de l’époque Edouardienne

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gibson girl

L’époque édouardienne au Royaume-Uni est la période qui va de 1901 à 1910. Cela correspond à la période de règne d’Édouard VII.

Elle a succédé à l’époque victorienne et est parfois étendue pour inclure le naufrage du Titanic en 1912, le début de la Première Guerre mondiale en 1914 ou sa fin, en 1918. Son équivalent, en France, est la Belle Époque.

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Édouard VII (en anglais : Edward VII), né Albert Edward le 9 novembre 1841 à Londres au palais de Buckingham et mort le 6 mai 1910 au même endroit, est roi du Royaume-Uni et des dominions (Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Terre-Neuve) ainsi qu’empereur des Indes du 22 janvier 1901 jusqu’à sa mort.

L’époque édouardienne

Avec l’ère édouardienne, de nombreuses améliorations de la vie que nous utilisons encore aujourd’hui, telles que l’électricité, les voitures et les aspirateurs, nous ont également fourni une part équitable de faits bizarres, la plupart concernant les femmes.

Par exemple, de belles femmes de l’ère édouardienne utilisaient de la Belladone, une plante hautement toxique et même mortelle, en se mettant des gouttes pour dilater leurs pupilles. Elles s’enduisaient également leurs visages de crème au plomb pour les rendre pâles.

[source : Bored Panda]

Les bouleversements d’une société rigide

Société

Socialement, cette époque se caractérise par la rigidité du système britannique de classe sociale.

Lois sociales

Le gouvernement Libéral de 1906 va suivre l’exemple de l’Allemagne en introduisant quelques-unes des premières lois sociales : des modestes allocations de retraite, et un système d’assurance maladie pour une partie de la population. Les coûts de ce programme vont engendrer des conflits avec la chambre des Lords, deuxième chambre du parlement, contrôlée par l’aristocratie. Le niveau des impôts est beaucoup plus bas qu’il ne sera plus tard dans le siècle, et les Lords refusent de voter le budget. Le gouvernement provoque une crise dont le résultat est que leurs lois sociales sont votées, à l’approbation populaire générale. Une loi de 1911 réduira définitivement le pouvoir de la chambre des Lords au sein du parlement britannique.

Le droit de vote des femmes

C’est pendant la période édouardienne que la campagne pour le droit de vote des femmes atteint son niveau le plus élevé. En 1903, frustrée par le manque de progrès à ce sujet malgré quarante ans de campagnes légalistes, Emmeline Pankhurst lance une nouvelle organisation, la Women’s Social and Political Union, dont le mot d’ordre est « Des actions, pas de mots ». Elle se lance dans une campagne d’action directe contre la propriété, sans user de violence envers autrui. Des boites à lettres sont brûlées, des vitrines cassées, des œuvres d’art détruites, et autour de mille suffragettes sont emprisonnées. En prison elles recourent à la grève de la faim, et le gouvernement répond par un programme d’alimentation forcée et violent qui fait la une de tous les journaux.

Les beautés de l’époque édouardienne

Lily Elsie (1886-1962)

Elsie Cotton, connue sous le nom de Lily Elsie, est une actrice et chanteuse anglaise de l’époque édouardienne.

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Gladys Cooper (1888-1971)

Dame Gladys Constance Cooper était une actrice anglaise dont la carrière s’est étendue sur sept décennies sur scène, dans les films et à la télévision. Adolescente sur scène dans les comédies musicales et la pantomime édouardiennes, elle a joué dans des rôles dramatiques et des films muets avant le début de la Première Guerre mondiale.

Plus tard, elle est devenue directrice du Playhouse Theatre, où elle a joué de nombreux rôles, et a remporté des éloges dans des pièces de W. Somerset Maugham et d’autres. Gladys Cooper a joué régulièrement à la fois dans le West End et à Broadway, et a été nominée pour trois Oscars.

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Marie Doro (1882-1956)

Marie Doro était une actrice de théâtre et de cinéma américaine du début de l’ère du cinéma muet. Elle a d’abord été remarquée comme choriste par l’impresario Charles Frohman, qui l’a emmenée à Broadway, où elle a également travaillé pour William Gillette connu pour son rôle de Sherlock Holmes, son début de carrière étant en grande partie façonné par ces deux mentors beaucoup plus âgés.

Bien que généralement typée dans des rôles féminins légers, elle était en fait particulièrement intelligente, cultivée et spirituelle.

À la mort de Frohman sur le RMS Lusitania en 1915, elle entame une carrière cinématographique, initialement sous contrat avec Adolph Zukor ; la plupart de ses premiers films sont perdus. Après avoir fait quelques films en Europe, elle est retournée en Amérique, de plus en plus attirée par la vie spirituelle, et a fini en solitaire, évitant activement les amis et les connaissances.

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Minnie Brown (1883-?)

Minnie Brown était une actrice et interprète qui a passé de 1902 à 1918 à se produire sur les scènes en Europe, en Russie et en Extrême-Orient. Elle faisait partie du cercle des interprètes afro-américaines très talentueux qui étaient basés en Russie pendant ces années ( avec Ollie Burgoyne, Pearl Hobson et Georgette Harvey).

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Maude Fealy (1883-1971)

Maude Fealy était une actrice de films muets américaine, reconvertie avec succès dans le cinéma parlant.

Fealy joue dans son premier film muet en 1911 chez Thanhouser Studios, et joue dans 18 autres films avant 1917. Ensuite, pendant quatorze ans, elle ne joue dans aucun film. Pendant les étés 1912 et 1913, elle organise un spectacle avec la Fealy-Durkin Company et joue au casino du Lakeside Amusement Park de Denver, et elle part en tournée dans la moitié des États-Unis l’année suivante.

Fealy rencontre un certain succès commercial comme dramaturge. Elle écrit The Red Cap avec Grant Stewart, auteur et acteur new-yorkais, et ils jouent au National Theatre de Chicago en août 1928. Elle ne joue pas dans la production, mais le récit tourne autour de l’invention d’un porte-bagages à roulettes manifestement inventé par Fealy. Un article de journal sur cette invention pourrait être un coup de pub pour la pièce ou un vrai article. D’autres pièces coécrites par Fealy incluent At Midnight et, en partenariat avec la célèbre dramaturge Alice Gerstenberg, The Promise.

Au cours de sa carrière, Fealy enseigne le théâtre dans plusieurs villes. Dès ses débuts avec sa mère, elle monte le Maude Fealy Studio of Speech, la Fealy School of Stage and Screen Acting, et la Fealy School of Dramatic Expression. Elle enseigne à Grand Rapids, Michigan ; Burbank, Californie, et Denver, Colorado. Dans les années 1950, elle vit à Los Angeles et s’investit dans le Federal Theatre Project. À cinquante ans, elle fait quelques apparitions de figurante dans des films, par exemple dans Les Dix Commandements. Plus tard dans sa carrière, elle écrit, apparait dans des concours de beauté, et participe à des conférences dans des écoles et des organisations non caritatives.

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Aida Overton Walker (1880-1914)

Aida Overton Walker est une actrice de vaudeville afro-américaine, chanteuse, danseuse et chorégraphe.

Elle est l’épouse de l’acteur de vaudeville George Walker. Elle est surnommée The Queen of the Cakewalk, après avoir popularisé la danse du même nom. Elle se met en scène avec son mari et son partenaire de scène, Bert Williams, mais aussi dans des groupes, comme les Black Patti’s Troubadours. Elle dansait également en solo et chorégraphiait pour des spectacles de vaudeville tels The Red Moon (1908), de Bob Cole, Joe Jordan et J. Rosamond Johnson mais aussi His Honor the Barber (1911) de S. H. Dudley.

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Ethel Warwick (1882-1951)

Ethel Warwick était une actrice britannique. Elle était connue pour The Bigamist (1916), The Magistrate (1921) et Bachelor Baby (1932). Durant son adolescence, avant de devenir actrice, Ethel était mannequin nue, posant pour, entre autres, James McNeil Whistler.

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Evelyn Nesbit (1884-1967)

Florence Evelyn Nesbit est une danseuse de revue américaine. Attirant l’attention par sa beauté frappante, elle posa pour plusieurs artistes et photographes de renom. Elle est considérée comme l’une des Gibson Girls les plus marquantes.

Sa notoriété lui vient principalement de son implication dans le meurtre de son ex-amant, l’architecte Stanford White, par son premier mari, Harry Kendall Thaw.

En 1901, alors qu’Evelyn Nesbit avait 16 ans, elle et sa mère déménagèrent pour aller s’installer au 249 W., 22e rue, à New York. Sa mère avait quelques difficultés à trouver du travail et, après quelques semaines, Evelyn la persuada de la laisser reprendre une carrière de modèle. Utilisant une lettre de recommandation que lui avait donné un artiste de Philadelphie, Evelyn rencontra James Carroll Beckwith, qui la présenta à d’autres artistes new-yorkais. Rapidement, elle posa alors pour des artistes tels que Frederick S. Church, Herbert Morgan, Gertrude Käsebier, Carl Blenner et le photographe Rudolf Eickemeyer, Jr..

Evelyn Nesbit devint finalement l’un des modèles les plus demandés à New York. Elle était d’une séduisante beauté, avec sa longue chevelure rousse ondulée et sa silhouette mince et bien faite. Le sculpteur George Grey Barnard fit appel à elle pour sa fameuse étude Innocence, que l’on peut voir aujourd’hui au Metropolitan Museum of Art.

Charles Dana Gibson, l’un des plus célèbres dessinateurs du pays à l’époque, réalisa un dessin d’elle, au crayon et à l’encre, la montrant de profil, avec sa chevelure rousse arrangée en forme de point d’interrogation. Ce portrait, intitulé L’Éternelle Question, reste l’une des œuvres les plus fameuses de Gibson, à partir de laquelle Evelyn Nesbit compta au rang des Gibson Girls les plus marquantes du siècle naissant.

La photographie de mode, qui commençait à devenir populaire dans les journaux quotidiens, s’avéra être un travail encore plus lucratif pour Evelyn Nesbit. Le photographe Joel Feder la payait habituellement 5 USD pour une demi-journée de pose, ou 10 USD pour une journée complète (soit environ 30 USD de l’heure, en valeur de 2006). Bientôt, Evelyn Nesbit gagna largement de quoi faire vivre sa famille.

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Ethel Barrymore (1879-1959)

Née dans une famille de comédiens américains, son père Maurice Barrymore et sa mère Georgiana Emma Drew, Ethel Barrymore rêve d’être une grande pianiste, mais la seule profession qui l’intéresse est le théâtre et la comédie.

Après avoir joué avec ses frères dans des rôles comiques, elle est engagée en 1932 par la MGM pour jouer des personnages secondaires dans les films comme Rasputin and the Empress. Après dix années sans grand succès, Ethel accepte l’invitation de Cary Grant pour jouer la mère de Grant dans None But the Lonely Heart film réalisé par Clifford Odets en 1944 pour lequel elle obtient un Oscar dans le rôle de Ma Mott.

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Billie Burke (1884-1970)

Née à Washington, elle fait ses études en France. Elle débute à la scène à Londres en 1903, puis à Broadway en 1907. Elle débute au cinéma muet en 1916 dans Peggy de Thomas Ince. Elle fut la femme de Florenz Ziegfeld, qu’elle avait épousé en 1914. Elle interprète la Glinda la bonne fée du nord dans le Magicien d’Oz en 1939.

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Ethel Clayton (1882-1966)

Au théâtre, Ethel Clayton joue et chante à Broadway (New York) entre 1909 et 1918, dans deux pièces, la revue Ziegfeld Follies de 1911 (avec Fanny Brice), et quatre comédies musicales (dont Nobody Home en 1915, sur une musique de Jerome Kern, avec Marion Davies).

Au cinéma, à partir de 1909, elle contribue à de nombreux courts métrages muets jusqu’en 1915, ainsi qu’à des longs métrages, dont Beyond de William Desmond Taylor (1921, avec Charles Meredith). Son dernier film muet est Maman de mon cœur (1928, avec Belle Bennett et Neil Hamilton) de John Ford, sous la direction duquel elle avait déjà tourné Sa nièce de Paris (1925, avec Madge Bellamy et J. Farrell MacDonald).

Après le passage au parlant, Ethel Clayton apparaît encore comme second rôle de caractère ou en tenant des petits rôles non-crédités, le dernier dans Les Exploits de Pearl White de George Marshall (1947, avec Betty Hutton et John Lund).

Au sein d’une filmographie comprenant au total près de deux-cents films américains, citons également Thrill of Youth de Richard Thorpe (1932, avec June Clyde et Allen Vincent), Secrets de Frank Borzage (1933, avec Mary Pickford et Leslie Howard) et Une nation en marche de Frank Lloyd (1937, avec Joel McCrea et Frances Dee).

Depuis 1960, pour sa contribution au cinéma, une étoile lui est dédiée sur le Walk of Fame d’Hollywood Boulevard.

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Geneviève Lantelme (1882-1911)

Geneviève Lantelme, nom de scène de Mathilde Hortense Claire Fossey, est une actrice française, une célébrité, une icône de la mode et une courtisane du début du XXème siècle, née dans le 18e arrondissement de Paris le 20 mai 1883 et morte près de Rees en Allemagne le 25 juillet 1911.

Considérée par ses contemporains comme une des plus belles femmes de la Belle Époque, sa disparition précoce et mystérieuse à 28 ans lors d’une croisière sur le Rhin contribua à sa légende.

En octobre 1903, Geneviève Lantelme entre au Conservatoire de Paris pour étudier l’art dramatique. Elle y reçoit l’enseignement de l’acteur de la Comédie-Française Maurice de Féraudy. Bien que les étudiants du Conservatoire ne soient pas autorisés à se produire sur scène avant l’obtention de leur diplôme, elle continue à apparaître dans les salles parisiennes pendant la période de ses études, sous le nom de Telmy. Elle termine sa formation sans recevoir ni prix ni distinction, et reprend ses activités sur scène sous le nom de Lantelme.

Le 1er avril 1905, elle joue dans L’Âge d’aimer, dont le rôle principal est interprété par Réjane. Ayant entendu que son ami Alfred Edwards, patron de presse et dramaturge amateur, venait d’écrire une pièce nommée Par Ricochet et était à la recherche d’une actrice, Réjane lui présente Lantelme, qui devient bientôt sa maîtresse, avant de devenir son épouse.

En septembre 1906, elle signe un contrat avec le Théâtre Réjane, mais le rompt deux ans plus tard car tous les rôles principaux sont interprétés par Réjane. Celle-ci poursuit Lantelme pour violation de contrat, et l’emporte : la jeune actrice est contrainte de payer 20 000 francs de dommages et intérêts.

Malgré cet événement, l’année 1908 n’est pas si mauvaise pour Geneviève Lantelme : en novembre elle interprète un rôle de premier plan, celui de Marthe Bourdier, dans Le Roi de Gaston Arman de Caillavet, Robert de Flers et Emmanuel Arène. Elle joue aux côtés de Albert Brasseur et Amélie Diéterle et cette pièce s’avère être l’un des plus grands succès du théâtre français. Elle fait alors la couverture de revues comme Le Théâtre, Les Modes ou Femina et apparaît sur de nombreuses cartes postales. Au cours de sa courte carrière, elle est souvent photographiée et mise en vedette dans la presse à travers l’Europe et l’Amérique du Nord, son goût pour la mode lui valant de collaborer avec les stylistes Madeleine Vionnet ou Jeanne Paquin lorsque paraissent leurs créations. Lantelme fait connaître son intérêt pour les chapeaux de grande taille.

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Julia James (1890-1964)

Julia James est une actrice anglaise de l’époque édouardienne, des années 1900, actrice principale du Gaiety Theatre de Londres et considérée, par un auteur de théâtre, comme l’une des quinze plus belles actrices de l’époque édouardienne.

Née à Londres en 1890, elle commence sa carrière, en 1905, dans Supper Belle in Blue Bell, au théâtre Aldwych, sous la direction de Seymour Hicks. Elle est la vedette du Gaiety Theatre dans The Girls of Gottenburg, Havana et Our Miss Gibbs.

Elle « avait de magnifiques cheveux roux qui attiraient des regards admiratifs partout où elle allait ».

En 1913, elle obtient le rôle de Sombra dans The Arcadians qu’elle joue à l’Olympia de Paris. En 1916, elle présente Christmas in the trenches au London Opera House.

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Camille Clifford (1885-1971)

Camille Antoinette Clifford est une actrice belge, et qui est le plus célèbre modèle de la Gibson Girl, créée par Charles Dana Gibson en 1887.

Son haut chignon et sa taille de guêpe correspondent parfaitement à la silhouette de la Gibson Girl.

Au début des années 1900, elle gagne 2 000 $ dans un concours organisé par un magazine pour trouver la créature de chair et d’os correspondant le mieux à la Gibson Girl inventée par Charles Dana Gibson, pour lui la femme idéale. À partir de la fin de 1902, après s’être départi de son accent, Camille Clifford participe à des comédies musicales à Broadway, puis joue en Angleterre où elle apparait en particulier dans The Belle of Mayfair, et chante Why Do They Call Me a Gibson Girl?. Elle quitte Londres pour retourner à Boston le 3 juillet 1906. Bien qu’on ne lui confie guère que des rôles muets, Camille Clifford devient pourtant célèbre, non pour son talent, mais pour sa beauté. Son style distinctif est une longue et élégante robe du soir, drapée autour de sa silhouette à la taille de guêpe, encore aminci par le port du corset.

Malgré sa réputation en tant qu’archétype de la Gibson Girl, elle est loin d’être la seule à incarner cet idéal féminin.

Des photographies d’elle prises par Lizzie Caswall Smith en 1905 apparaissent souvent dans des ouvrages traitant de l’histoire de la mode pour illustrer le style edouardien des années 1900.

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Annette Kellerman (1886-1975)

Annette Marie Sarah Kellermann était une nageuse professionnelle australienne, une star du vaudeville, une actrice de cinéma, une écrivaine et une propriétaire d’entreprise.

Elle a été l’une des premières femmes à porter un maillot de bain une pièce, au lieu des pantalons alors acceptés. Les maillots de bain de Kellerman sont devenus si populaires qu’elle a lancé sa propre ligne de mode de maillots de bain une pièce. Kellermann a contribué à populariser le sport de la nage synchronisée ; et rédigé un manuel de natation. Elle est apparue dans plusieurs films et a été la première actrice majeure à apparaître nue dans une production hollywoodienne.

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