On aime vraiment se faire du mal parfois… Et feuilleter un pavé indigeste comme F.A.T.A.L. c’est vraiment très mal.
On voit parfois le nom de ce jeu de rôle apparaitre au détour d’une discussion pour décrire quelque chose de vraiment imbuvable et mauvais… Alors il fallait qu’on en cause un peu.
Autant le dire tout de suite…
Lire partout que ce jeu (F.A.T.A.L.) est le pire jeu de rôle de tous les temps, c’est une chose, lire le jeu et s’en faire un idée, c’est une autre paire de manches…
Je vais vous tuer le suspens tout de suite, le jeu n’est pas seulement mauvais, il est insultant, terriblement mauvais et n’aurait jamais du être publié !
F.A.T.A.L.
F.A.T.A.L., c’est l’acronyme de Fantasy Adventure to Adult Lechery (première édition) ou From Another Time Another Land (deuxième édition). F.A.T.A.L. est un jeu de rôle sur table de dark fantasy publié pour la première fois en 2002 par Fatal Games. Son auteur principal est Byron Hall.
Avant d’aller plus loin sur la page 2, « Trigger warning : (viol) ».
Commentaires
5 réponses à “Mais c’est quoi ce jeu de rôle, F.A.T.A.L. dont tout le monde dit du mal ?”
J’avoue que je n’avais tout simplement jamais entendu parler de cette expérience très osée (pour ne pas dire répugnante) de jdr. Qui a pu « jouer » à un truc pareil ? En tout cas, si le pari était de faire parler c’est réussi. Ça peut aussi devenir le jeu des tarés de la transgression qui vont vouer un culte secret à cet objet forcément rare sur le marché.
C’est une compilation de toxicité qui semble s’être agglomérée autour d’une façon de voir le jdr. Ça aurait pu être n’importe quoi d’autre, a la lecture du machin, ça penche plutôt vers le jeu vidéo.En jeu vidéo c’est tout aussi malsain.
Bon, au moins, c’est clair. À éviter absolument !
Oui, on peut regretter de lui faire encore un peu de pub. Ce jeu ne mérite pas qu’on en parle. Mais comme il est de temps à autre cité par ci par là, souvent pour faire une blague, c’est bien de savoir de quoi il s’agit…
J’ai énormément profité de cet article pour toutes les mauvaises raisons, la seule possibilité quand on parle de FATAL. La critique de MacLennan et Sartin est une des choses les plus hilarantes que j’aie lu n’importe où, mais je l’aurais cru perdu dans l’obscurité avec son sujet. Je suis bouleversé qu’il soit connu même en France ! On dit en anglais qu’il faut être un chiot bien malade pour écrire quelque chose aussi nulle que FATAL !