Et bien voilà qui confirme que nous sommes bien en 2020, le Pentagone américain a annoncé ce vendredi 14 août la création d’un nouveau « groupe de travail » destiné à enquêter sur les observations d’objets volants non identifiés (OVNI).
Une nouvelle Task Force
Ce nouveau groupe de travail porte le nom de « Unidentified Aerial Phenomena Task Force » (UAPTF), soit « Groupe de travail sur les phénomènes aériens non identifiés ». Ce groupe sera curieusement intégré à l’US Navy (la Marine), et non pas à l’US Air Force.
Si la création de ce groupe d’étude relève surtout d’une vive inquiêtude vis à vis de l’espionnage aérien, de la part de la Chine par exemple, il n’en reste pas moins que le sujet des « OVNIS » revient très règulièrement sur le tapis. Et même qu’en réalité il y a toujours d’importants moyens financiers alloués à ce thème.
Comme le relève le site [Ovnis-direct.com] : En 2017, le New York Times avait révélé l’existence d’une unité appelée « Advanced Aerospace Threat Identification Program ».
Des responsables du ministère de la Défense ont déclaré à l’époque que l’unité et ses 22 millions de dollars de financement étaient devenus caducs après 2012.
Les personnes travaillant avec le programme ont toutefois déclaré qu’il était toujours opérationnel en 2017 et au-delà, des déclarations confirmées par la suite par le département de la Défense.
Le programme a été lancé en 2007 sous l’égide de la Defense Intelligence Agency et a ensuite été placé au sein du bureau du sous-secrétaire à la défense du renseignement, qui reste responsable de sa surveillance. Mais sa coordination avec la communauté du renseignement sera assurée par l’Office of Naval Intelligence, comme cela est décrit dans le projet de loi de finances du Sénat. Le programme ne semble s’être jamais stoppé au cours de ces années, et peu de choses ont été divulguées sur les opérations post-2017.
Bref, vous savez quoi faire ?
Soit ressortir vos personnages de Delta Green, soit encore travailler sur un futur scénario de Mega !
Sources
Department of Defense, CNBC, Phys.org /
