Étiquette : jeu de rôle
-
Télé à la casse : pourquoi les adaptations ciné de séries TV échouent (presque) toujours
Voilà un article encore très très subjectif, parce qu’en l’écrivant je me rend bien compte à quel point je suis très partial, et que finalement ce n’est qu’une opinion tout à fait personnelle, mais vous me direz… Ça faisait un moment que ça me trottait d’écrire un truc sur les adaptations des séries TV au…
-
François Marcela-Froideval (1958–2025) — L’imaginaire perd un de ses bâtisseurs
Il y a des noms, comme ça, qu’on croise depuis longtemps sans forcément les chercher. Des noms qui finissent par faire partie du paysage, un peu comme une enseigne familière dont la présence rassure. Le nom de François Marcela-Froideval, pour quiconque s’est plongé dans le jeu de rôle ou la fantasy en France, est de…
-
Les Damnés de Visconti : Crépuscule d’une dynastie corrompue
L’intrigue suit la famille Essenbeck, une puissante dynastie industrielle liée à l’acier, qui traverse la tourmente de l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Entre ambitions, trahisons et manipulations incestueuses, les membres du clan se livrent à une lutte sans merci pour le contrôle de leur empire. Visconti peint un tableau d’une modernité saisissante.
-
Sur les Chemins de la Fin’Amor
Sur les Chemins de la Fin’Amor mêle poésie, érudition médiévale, mystique orientale et humour. Ce recueil inspiré par le jeu de rôle où entre croisades, amour courtois et contes détournés, Eugénie Dopagne transforme ses personnages en légendes poétiques
-
Achtung!Historique : Pourquoi la précision historique a (encore) sa place dans Achtung!Cthulhu
Ah, Achtung!Cthulhu… Ce jeu de rôle où l’on peut tabasser des cultistes nazis, invoquer un shoggoth dans les Ardennes et faire du kung-fu sur un dirigeable au-dessus de l’Atlantique. Oui, c’est un concentré de pulp, de fun, de grands gestes et de tentacules. Mais est-ce que ça veut dire qu’on doit faire n’importe quoi avec…
-
Lesbians Pulps : Entre fascination, censure et renaissance
Derrière des titres aguicheurs comme Strange Sisters ou Odd Girl Out, se jouait une bataille culturelle insidieuse : entre la censure, les préjugés et la quête d’une représentation sincère. Pour beaucoup de lectrices de l’époque, ces ouvrages constituaient la seule façon de se voir reflétées dans la fiction, même si c’était au prix d’une déformation…
-
Miss Marple et l’art du crime feutré
Miss Marple a connu plusieurs adaptations marquantes, notamment les interprétations de Joan Hickson (BBC, 1984-1992) et Geraldine McEwan (ITV, 2004-2007). Ces séries ont contribué à fixer l’image de la vieille dame curieuse, tricot en main, prête à dénouer les fils des intrigues les plus retorses.
-
De Sven Hassel à Achtung! Cthulhu : Entre survie, horreur et fatalisme guerrier
Ses personnages arpentent les champs de bataille d’Europe, traversant des contextes historiques qui prêtent à débat quant à leur réalisme. Mais une fois cette part de fiction acceptée, il revient au lecteur de se laisser happer ou non par cet univers âpre et sans concession.
-
L’Autre comme projection des peurs collectives
Ces créatures fantastiques permettent de rendre visibles nos angoisses face à l’inconnu ou aux dangers qui nous menacent, qu’il s’agisse de catastrophes naturelles, de conflits ou de changements sociaux. Ils deviennent alors des représentations simples et puissantes de ce qu’une société cherche à combattre ou à maîtriser.