Étiquette : jeu de rôle

  • The Cramps : rock’n’roll mutant et élégance déviante

    The Cramps : rock’n’roll mutant et élégance déviante

    Il y a des groupes qui jouent juste. Et puis il y a ceux qui jouent vrai. The Cramps ne cherchaient pas la perfection : ils cherchaient l’impact, l’ambiance, la transgression joyeuse. Ce n’étaient pas des virtuoses, mais des alchimistes du rock tordu. Leur style ? Un ovni sonore entre rockabilly, punk, surf music et…

  • Mutineries ! Histoire, révolte et jeu de rôle

    Mutineries ! Histoire, révolte et jeu de rôle

    Selon la définition classique, une mutinerie est une rébellion collective contre l’autorité dans un contexte militaire, notamment naval ou colonial. Elle peut prendre la forme d’un refus d’obéissance, d’une occupation de poste, d’une prise d’armes contre la hiérarchie. C’est un acte de rupture, une scission brutale dans la chaîne de commandement.

  • Pourquoi j’accroche pas aux Actual Plays (et pourquoi c’est pas un drame)

    Pourquoi j’accroche pas aux Actual Plays (et pourquoi c’est pas un drame)

    Les actual plays cartonnent : des parties de JdR enregistrées, filmées, montées, diffusées… Parfois jouées sur scène, avec du public, des projecteurs et du bruitage live. Croisement entre spectacle, podcast et série. Pourtant, il y a un truc qui coince. J’arrive pas à y trouver mon compte.

  • Télé à la casse : pourquoi les adaptations ciné de séries TV échouent (presque) toujours

    Télé à la casse : pourquoi les adaptations ciné de séries TV échouent (presque) toujours

    Voilà un article encore très très subjectif, parce qu’en l’écrivant je me rend bien compte à quel point je suis très partial, et que finalement ce n’est qu’une opinion tout à fait personnelle, mais vous me direz… Ça faisait un moment que ça me trottait d’écrire un truc sur les adaptations des séries TV au…

  • François Marcela-Froideval (1958–2025) — L’imaginaire perd un de ses bâtisseurs

    François Marcela-Froideval (1958–2025) — L’imaginaire perd un de ses bâtisseurs

    Il y a des noms, comme ça, qu’on croise depuis longtemps sans forcément les chercher. Des noms qui finissent par faire partie du paysage, un peu comme une enseigne familière dont la présence rassure. Le nom de François Marcela-Froideval, pour quiconque s’est plongé dans le jeu de rôle ou la fantasy en France, est de…

  • Les Damnés de Visconti : Crépuscule d’une dynastie corrompue

    Les Damnés de Visconti : Crépuscule d’une dynastie corrompue

    L’intrigue suit la famille Essenbeck, une puissante dynastie industrielle liée à l’acier, qui traverse la tourmente de l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Entre ambitions, trahisons et manipulations incestueuses, les membres du clan se livrent à une lutte sans merci pour le contrôle de leur empire. Visconti peint un tableau d’une modernité saisissante.

  • Sur les Chemins de la Fin’Amor

    Sur les Chemins de la Fin’Amor

    Sur les Chemins de la Fin’Amor mêle poésie, érudition médiévale, mystique orientale et humour. Ce recueil inspiré par le jeu de rôle où entre croisades, amour courtois et contes détournés, Eugénie Dopagne transforme ses personnages en légendes poétiques

  • Achtung!Historique : Pourquoi la précision historique a (encore) sa place dans Achtung!Cthulhu

    Achtung!Historique : Pourquoi la précision historique a (encore) sa place dans Achtung!Cthulhu

    Ah, Achtung!Cthulhu… Ce jeu de rôle où l’on peut tabasser des cultistes nazis, invoquer un shoggoth dans les Ardennes et faire du kung-fu sur un dirigeable au-dessus de l’Atlantique. Oui, c’est un concentré de pulp, de fun, de grands gestes et de tentacules. Mais est-ce que ça veut dire qu’on doit faire n’importe quoi avec…

  • Lesbians Pulps : Entre fascination, censure et renaissance

    Lesbians Pulps : Entre fascination, censure et renaissance

    Derrière des titres aguicheurs comme Strange Sisters ou Odd Girl Out, se jouait une bataille culturelle insidieuse : entre la censure, les préjugés et la quête d’une représentation sincère. Pour beaucoup de lectrices de l’époque, ces ouvrages constituaient la seule façon de se voir reflétées dans la fiction, même si c’était au prix d’une déformation…