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Kiki de Montparnasse : Muse, artiste et femme libre des Années folles
Si son rĂŽle de muse a longtemps Ă©clipsĂ© son travail personnel, Kiki de Montparnasse est aussi une peintre et une Ă©crivaine. Elle frĂ©quente des figures majeures de lâĂ©poque, comme Modigliani,âŠ
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PremiĂšres impressions sur Cthulhu : Origines
Soyons clairs : cette chronique nâest PAS une plongĂ©e en profondeur dans la mĂ©canique de jeu ni un test grandeur nature avec une Ă©quipe de joueuses et joueurs. Il sâagitâŠ
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Ambre, un jeu de rĂŽle mythique et audacieux
Dans Ambre, il n’y a pas de jets de dĂ© pour savoir si une action rĂ©ussit ou Ă©choue. Tout repose sur l’histoire, les interactions entre les joueurs et les dĂ©cisionsâŠ
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Lady Oscar : Un anime toujours aussi marquant
L’histoire de Lady Oscar se passe Ă la fin du XVIIIe siĂšcle en France. Oscar est Ă©levĂ©e en garçon par un pĂšre excĂ©dĂ© de n’avoir que des filles. L’Ă©ducation militaireâŠ
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Poésie et jeu de rÎle : une alliance méconnue mais puissante
Quelques lignes suffisent Ă crĂ©er une atmosphĂšre. Ce nâest pas juste un passage lyrique, c’est un fragment d’histoire, une trace de nostalgie laissĂ©e par un peuple en dĂ©clin. Peut-ĂȘtre mĂȘmeâŠ
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Soie, Nylon et Chaos : Quand les bas menaçaient l’ordre public
Pour les rĂŽlistes, ce contexte est une mine d’or : des contrebandiers de soie aux espions cherchant Ă sĂ©curiser des cargaisons prĂ©cieuses, il y a de quoi faire vibrer lesâŠ
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Les races « mauvaises » dans les jeux de rÎle : un héritage et une remise en question
Suite de notre dossier sur les « orcs ». Depuis les premiers jeux de rĂŽle (JDR), lâidĂ©e de races « mauvaises » a Ă©tĂ© omniprĂ©sente, fortement influencĂ©e par la fantasy classique. Cette reprĂ©sentation, bienâŠ
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Les orcs sont-ils vraiment méchants ? Une réflexion sur les monstres, le manichéisme et nos récits
L’idĂ©e de cet article (et des suivants sur le mĂȘme thĂšme) a dĂ©marrĂ© comme une question Ă deux balles : mais pourquoi les orcs sont mĂ©chants ?. Et c’est alorsâŠ
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UrotsukidĆji : Une Ćuvre choc et avant-gardiste
J’ai vu UrotsukidĆji: Legend of the Overfiend vers le milieu des annĂ©es 90. HonnĂȘtement, Ă l’Ă©poque, c’Ă©tait vraiment fun et, quand on n’avait connu que la japanimation « classique », il fautâŠ