Réécrire l’Histoire : représentations, effacements et choix narratifs

L’article explore comment les films, séries et jeux de rôle dits « historiques » choisissent qui montrer et qui invisibiliser. Il questionne les biais, les effacements volontaires et les choix de représentation. La fiction historique n’est jamais neutre : elle peut perpétuer des silences ou au contraire les briser.

L’effacement dans l’Histoire, c’est un thème qu’on avait déjà exploré sur l’Autre blog de Scriiipt. On en avait parlé sous différents angles, notamment avec ces héros qu’on préfère parfois oublier, ou encore avec les fameuses tentatives pour faire disparaître des figures historiques embarrassantes (mais pas pour nous).

Pour mémoire :

Cet article-ci pousse un peu plus loin la réflexion, en s’intéressant aussi à la notion de représentation. Parce que l’effacement n’est pas qu’un problème d’archives ou de mémoire : c’est aussi une question de visibilité dans la fiction, que ce soit au cinéma, dans les séries ou même en jeu de rôle.

Tout est parti d’une discussion entre ami·es, où on s’est demandé pourquoi on voyait des personnages racisés dans certains films ou séries historiques, alors que ça semblait incongru de prime abord. Et finalement, en creusant un peu, on s’est rendu compte que la vraie question, c’était : mais qui a décidé que c’était incongru ? Et qui a choisi de ne pas les montrer ?


Au croisement du vrai, du juste et du visible

Dans les discussions actuelles autour des films et séries dits « historiques », un point de tension revient sans cesse : celui du réalisme historique, et de ce qu’on attend réellement d’une œuvre qui prétend ou suggère raconter le passé. Ce débat devient encore plus vif lorsqu’on y voit des personnages minorisés — racisés, queer, femmes au premier plan, ou encore des personnes en situation de handicap — dans des rôles que l’on pensait jusque-là réservés à une certaine vision « classique » de l’Histoire. Pour beaucoup, c’est déroutant, voire perçu comme une distorsion de la mémoire. Pour d’autres, c’est une respiration bienvenue, une ouverture nécessaire, une réparation symbolique.

Mais derrière ces réactions souvent épidermiques se cache une question plus large et plus intéressante : à quoi sert la fiction historique aujourd’hui ? Et surtout, à qui donne-t-elle voix ? Qui continue-t-elle à effacer ? Qui protège-t-elle ? Et qui laisse-t-elle dans l’ombre ?


La « vérité historique » n’est ni unique ni stable

Ce que l’on appelle « vérité historique » est toujours une construction. Elle dépend :

  • des sources conservées (et de celles qui ont été perdues, effacées ou volontairement détruites),
  • du regard de l’époque qui les analyse et les interprète avec ses propres filtres culturels et politiques,
  • et des enjeux idéologiques et politiques qui orientent souvent ce qui mérite d’être raconté et ce qui doit être oublié ou discrètement mis de côté.

Pendant des siècles, ce sont les puissants — souvent blancs, masculins, chrétiens — qui ont raconté l’Histoire. Et logiquement, ce sont eux qu’on retrouve en majorité dans les récits dits historiques. Les autres — femmes, esclaves, colonisés, indigènes, personnes queer, ou personnes en situation de handicap — ont été invisibilisés, minimisés, relégués au folklore, à la marge ou à la simple anecdote, quand ils ne sont pas totalement absents des récits.

Même ce que nous pensons connaître peut s’avérer biaisé : des interprétations dominantes ont parfois été soigneusement écrites pour servir une vision nationale, coloniale ou patriarcale du monde. Les récits de la Résistance, de la Révolution, de l’Empire romain ou de la conquête coloniale ont souvent exclu les figures gênantes, les alliés inconfortables, les minorités actives, ou les personnages qui ne s’intégraient pas dans le récit glorieux recherché.

L’Histoire est un discours, pas une simple chronologie.


L’effacement n’est pas un oubli : c’est un acte politique

L’effacement volontaire de personnages historiques n’est pas une rareté : c’est une pratique universelle et ancienne, présente dans de nombreuses civilisations. Le Damnatio Memoriae, bien connu dans l’Antiquité romaine et égyptienne, consistait à supprimer délibérément les noms, les statues et les traces d’individus que les pouvoirs en place voulaient faire disparaître. Leur visage était martelé, leurs noms effacés, leurs souvenirs détruits, afin que les générations suivantes ne puissent plus s’en souvenir.

Damnatio Memoriae

Cette habitude s’est prolongée dans l’Histoire humaine : on a gommé des personnes, des figures, des peuples entiers, que ce soit par choix idéologique, par racisme, par sexisme, ou pour maintenir des récits dominants et confortables qui rassurent les héritiers du pouvoir.

Retrouver ces personnes effacées est un travail minutieux, souvent laborieux, parfois presque archéologique, surtout quand les traces sont anciennes, dispersées ou volontairement fragmentaires. Ce problème est amplifié dans les cultures où l’Histoire a surtout été orale : en Afrique, en Océanie, en Amérique du Nord, en Australie, de nombreuses traditions, généalogies et récits ont été transmis sans écriture, ou bien ont été réprimés et détruits par la colonisation. Ce qui ne s’écrit pas peut plus facilement disparaître aux yeux des historiens occidentaux. En Amérique centrale et en Amérique du Sud, des civilisations comme celles des Aztèques, des Mayas ou des Incas ont vu leurs archives, leurs bibliothèques et leurs traditions délibérément anéanties par les envahisseurs européens, souvent au nom de la religion et de la domination culturelle.

L’effacement ne concerne pas seulement les peuples autochtones ou les sociétés sans écriture : des femmes scientifiques, des leaders noirs, des figures LGBTQ+, des artistes hors normes ont aussi été rayés de la mémoire officielle, même quand leurs contributions étaient visibles et reconnues de leur vivant. Cet oubli n’est pas neutre : il entretient un récit où seuls certains types de héros, de vainqueurs ou de bâtisseurs mériteraient d’être racontés. Il façonne les mentalités et valide des hiérarchies sociales prétendument naturelles.

encadré

L’effacement, un geste politique

…des exclus — membres marginalisés — ne sont pas juste absents par accident : ils ont été retirés des récits dominants. Severiano de Heredia, Hatshepsout, Rosalind Franklin, Marguerite de Carrouges

Ces figures ont été volontairement oubliées. Leur “non-présence” n’est pas neutre : c’est un acte politique de réduction ou de falsification du passé.

Severiano de Heredia
Hatshepsout
Rosalind Franklin
  • Marguerite de Carrouges : oubliée de l’Histoire judiciaire jusqu’à The Last Duel.
  • Severiano de Heredia : maire noir de Paris, effacé de la mémoire politique jusqu’au XXᵉ siècle.
  • Hatshepsout / Akhenaton : leurs noms brisés, statues détruites après leur décès (damnatio memoriae).
  • Rosalind Franklin : photos absentes, discours invisibilisés à l’école et dans les manuels.

Figures effacées et oubliées : des exemples concrets

Ne pas voir de personnes noires dans une série sur la Révolution française ou dans un film sur l’Angleterre victorienne n’est pas une simple maladresse ou un détail : c’est la continuité d’un choix d’effacement. Ces personnes étaient là. Elles vivaient, elles aimaient, elles combattaient, elles écrivaient. Leur absence dans les récits populaires reflète l’effacement qui a eu lieu dans les livres d’histoire et dans les mémoires collectives.

En France à la Révolution et à la Belle Époque :

général Dumas
Thomas Alexandre Davy de La Pailleterie, dit le général Dumas

En France à la fin du XVIIIᵉ siècle, plusieurs milliers de personnes noires ou métissées vivaient déjà dans les grandes villes. Certains accédaient à des positions remarquables : Thomas‑Alexandre Dumas devint général, Saint‑George commanda un bataillon révolutionnaire, Jean‑Baptiste Belley fut député.

  • Thomas-Alexandre Dumas (1762–1806), général révolutionnaire noir, père d’Alexandre Dumas. Il mena des campagnes militaires de premier plan, salué de son vivant, mais son héritage a longtemps été éclipsé.
  • Joseph Bologne, Chevalier de Saint-George (1745–1799), virtuose, compositeur, escrimeur et commandant militaire, oublié des livres d’histoire alors qu’il fut un proche des sphères de pouvoir et défenseur de la Révolution.
  • Jean-Baptiste Belley (1746–1805), ancien esclave devenu député à la Convention nationale, défenseur des droits des Noirs et des colonisés.
  • Severiano de Heredia (1836–1901), maire de Paris en 1879, ministre des Travaux publics sous la Troisième République, dont le nom a disparu des mémoires collectives pendant plus d’un siècle.

En Angleterre victorienne :

En Angleterre, au XIXᵉ siècle, on estime qu’entre 10 000 et 20 000 personnes noires résidaient dans le pays — Pablo Fanque devint propriétaire de cirque, William Cuffay un leader chartiste, Nathaniel Wells un notable et officier de justice.

Ces figures, pourtant documentées, sont rarement représentées dans les fictions historiques. Leur absence contribue à la construction d’un passé uniforme, exclusivement blanc, masculin et hétérocentré.

encadré

Quand l’Histoire s’efface avec les mots

Toutes les cultures n’ont pas laissé des traces écrites. Dans de nombreuses régions du monde, l’Histoire s’est transmise oralement : par les chants, les récits, les généalogies parlées. C’est le cas de nombreux peuples d’Afrique, d’Océanie, d’Amérique du Nord, d’Australie, mais aussi de certaines communautés d’Amérique du Sud et d’Amérique centrale.

Pendant des siècles, l’Histoire « officielle », celle qui s’écrit dans les archives des puissants, a méprisé ces traditions orales. On les a reléguées au rang de folklore ou de mythe, comme si elles n’avaient pas de valeur historique. Ce mépris a été renforcé et organisé par la colonisation, qui a souvent cherché à effacer activement ces cultures. En Amérique centrale et en Amérique du Sud, des bibliothèques entières ont été brûlées par les conquistadors espagnols, les langues autochtones ont été interdites, et les temples ont été rasés. En Afrique, en Océanie, en Amérique du Nord et en Australie, la transmission orale a été brisée par la déportation, l’évangélisation forcée et la mise en place de systèmes éducatifs coloniaux qui imposaient les langues européennes.

Et même lorsque certains personnages autochtones ont survécu dans les récits occidentaux, ils ont souvent été transformés, déformés, simplifiés.

Squanto
Túpac Amaru II
Codex

Ce n’est pas qu’une question de folklore ou d’omission : c’est une stratégie d’effacement et de dépolitisation. Ces figures ont été reconstruites pour devenir des personnages secondaires, des aides de l’homme blanc ou des rebelles folkloriques, toujours à la marge, jamais au centre de l’Histoire.

C’est une autre forme d’effacement : un bannissement symbolique qui nie leur statut d’acteurs historiques à part entière, avec des stratégies, des alliances et des choix aussi complexes que ceux des puissances coloniales.

Te Rauparaha, chef maori de Nouvelle-Zélande, réduit à une figure de « chef de guerre barbare » dans les récits coloniaux. Il était en fait un stratège politique complexe et un leader d’envergure qui a défendu les terres et la culture de son peuple

Squanto, Amérindien de la tribu des Patuxet, souvent présenté comme le « gentil guide » des Pères Pèlerins. Son histoire réelle est bien plus tragique : kidnappé, vendu comme esclave, il survit à une déportation et revient dans son village décimé. Son rôle est bien plus complexe que celui de l’auxiliaire bienveillant que les manuels scolaires simplifient encore.

Pocahontas, devenue l’icône romantique d’une Amérindienne tombée amoureuse d’un colon anglais. La réalité est plus rude : elle a été capturée, mariée de force, instrumentalisée comme outil diplomatique et est morte en Europe, loin de chez elle.

Túpac Amaru II, chef de la grande révolte indigène contre l’Empire espagnol au Pérou, a longtemps été présenté comme un simple rebelle sans envergure. En réalité, il portait une lutte politique structurée, inspirée de son héritage inca et des logiques de résistance.


Redonner une place aux corps oubliés : geste militant ou geste artistique ?

Quand une série comme La Chronique des Bridgerton met en scène une duchesse noire dans l’Angleterre georgienne, on entend vite crier à « l’anachronisme woke ». Pourtant, ce n’est pas forcément une erreur historique. C’est avant tout un choix narratif assumé, une liberté artistique délibérée, qui s’inscrit dans une démarche de relecture et de réappropriation des récits.

La Chronique des Bridgerton
Ce qui trompe le spectateur, ce n’est pas de prendre des libertés avec l’Histoire. C’est de ne pas le dire.

Le projet de la série n’est pas de livrer une reconstitution fidèle de l’époque, mais plutôt de proposer une uchronie romantique, une sorte de monde alternatif où l’aristocratie britannique serait multiraciale, et où les règles du jeu social seraient revisitées. Ce n’est pas un hasard : c’est une manière de faire exister une diversité longtemps effacée des fictions historiques, et de permettre à d’autres publics de se projeter dans des récits qui leur étaient jusqu’ici fermés.

C’est un geste politique, oui, mais aussi un geste artistique. Faire exister des personnages racisés, queer, ou marginalisés dans des récits historiques, ce n’est pas forcément trahir l’Histoire : c’est souvent rééquilibrer le regard, refuser les silences, et proposer des alternatives aux récits figés et exclusifs.

Cependant, une question reste en suspens : le spectateur est-il suffisamment informé que ce qu’il regarde est une uchronie ? La série ne le précise pas, et sans cette clé de lecture, certains peuvent penser qu’ils assistent à une reconstitution historique exacte. Ce flou peut désorienter, notamment pour les spectateurs passifs ou peu enclins à chercher des informations complémentaires.


Uchronie, fiction historique ou reconstitution ?


Dans les œuvres dites « historiques », il y a des degrés de fiction que l’on ne distingue pas toujours clairement :

  • La reconstitution historique : elle vise l’exactitude des faits, des décors, des costumes et des rapports sociaux. Exemples : The Crown, Dunkerque.
  • La fiction historique : elle prend place dans un cadre réaliste mais insère des personnages ou des intrigues imaginaires. Exemples : Les Trois Mousquetaires, Downton Abbey.
  • L’uchronie : elle modifie volontairement un élément clé de l’Histoire ou réinvente des règles sociales. Exemples : La Chronique des Bridgerton, Marie-Antoinette de Sofia Coppola.

Le problème, c’est que ces différences ne sont pas toujours annoncées.
Si le spectateur n’est pas attentif ou ne cherche pas à s’informer, il peut croire que ce qu’il voit est historiquement exact.
Ce flou peut alimenter des malentendus ou des réactions outrées, surtout lorsque la représentation des minorités dérange certains spectateurs.

Ce n’est pas tant la prise de liberté qui pose problème, mais le manque de clarté sur l’intention. Une œuvre peut tout à fait jouer avec l’Histoire… tant qu’elle le fait en conscience et qu’elle laisse suffisamment de signes pour que le spectateur comprenne qu’on est dans la fiction.

Représenter n’est pas trahir : c’est interroger

Inclure des personnages minorisés dans des fictions historiques, ce n’est pas trahir l’Histoire : c’est poser des questions essentielles :

  • Pourquoi n’a-t-on pas l’habitude de voir ces corps-là dans ces récits-là ?
  • À quel moment a-t-on décidé que le passé devait être blanc, masculin, cis et hétéro ?
  • Qui cela arrange-t-il de maintenir cette illusion ?
  • Quelles histoires n’a-t-on jamais racontées ?

La représentation ne falsifie pas l’Histoire : elle l’enrichit, elle la complexifie, elle en révèle les angles morts. Elle rappelle que l’Histoire est un espace de pouvoir, pas une vérité immobile. C’est là que réside la force politique de la fiction : non pas travestir le passé, mais l’interroger, le revisiter, le compléter, et parfois le réparer.


En jeu de rôle aussi, on choisit ce qu’on montre

Créer une campagne dans l’Empire romain, dans le Paris de 1890 ou dans le Londres victorien, c’est déjà faire des choix narratifs. On décide qui est là, qui agit, qui existe. On peut reproduire les biais historiques… ou les déconstruire.

Il faut simplement être clair et conscient :

  • Veut-on une reconstitution fidèle, ou ce que l’on croit fidèle ?
  • Une uchronie inclusive qui joue volontairement avec les représentations ?
  • Une fiction symbolique et anachronique qui assume ses libertés ?

Aucune approche n’est mauvaise si elle est annoncée et comprise par la table de jeu. En jeu de rôle comme en fiction, on peut jouer avec l’Histoire, ou contre l’Histoire officielle. Ce qui compte, c’est de faire ce choix en toute lucidité.

Le jeu de rôle permet d’explorer des passés alternatifs, de donner voix aux oubliés, de peupler les rues et les palais de personnages qu’on a trop longtemps laissés dans l’ombre. C’est une chance unique pour questionner ce que l’on croit savoir.


En conclusion : La fiction historique, un chantier ouvert

La fiction historique n’est pas une vérité figée : c’est un chantier vivant, une mise en scène du passé à la lumière des sensibilités d’aujourd’hui. Elle peut perpétuer les silences… ou les briser. Elle peut enfermer le récit… ou l’ouvrir.

Et ce choix-là, c’est un choix politique. Un choix d’auteur, un choix de spectateur, un choix de joueur.



Commentaires

6 réponses à “Réécrire l’Histoire : représentations, effacements et choix narratifs”

  1. Avatar de edopagne
    edopagne

    Excellent article !!! Merci ! Je partage

  2. Avatar de Anagrys
    Anagrys

    Qu’est-ce qu’un bon article ? Si c’est un article qui incite à réfléchir, à questionner nos a-priori, alors je pense que celui-ci est clairement un très, très bon article. Qui a, en plus, le bon goût de ne pas être « fermé », il ébauche un certain nombre de pistes de réflexion pour aller plus loin. À noter toutefois que notre époque permet le questionnement et autorise à ramener de l’oubli toutes ces personnes qui nous ont, aussi, permis d’en arriver où nous en sommes.
    À la liste des personnes effacées, vous pouvez ajouter Wu Zetian, qui a réalisé en Chine l’exploit qu’Hatchepsout a réalisé en Egypte : réussir à ceindre la couronne à son nom.

    1. Avatar de scriiiptor

      Merci pour le compliment.
      L’article est un poil trop long et un peu bordélique quand même . Le sujet fait qu’à mesure qu’on l’écrit on a envie de dire plein de choses, a mesure qu’on creuse on découvre encore d’autres choses.
      On a ici par exemple un article sur Severiano de Heredia qui est encore en mode brouillon, réalisé a 85% et qui aurait pu sortir avant celui ci.
      Et oui, il y a une liste assez énorme de personnages historiques de grande importance qui sont invisibles encore aujourd’hui.
      Heureusement on a aussi cette possibilité de nos jours de pouvoir retrouver et en parler.
      On a une suite à cet article, parce que tout n’a pas été dit, et qu’il y a encore débat interne sur certains sujets.
      ET merci encore.

      1. Avatar de Anagrys
        Anagrys

        J’ai prévu un cycle d’articles, peut-être dans le courant de l’automne, qui feront un écho intéressant à celui-ci, si j’arrive à creuser assez mon sujet d’ici là. Il y a du travail !
        Peut-être qu’il correspond assez peu aux canons d’une dissertation scolaire (en tout cas telles que j’en ai connu, donc on s’arrête plus ou moins au lycée), mais je trouve qu’avec les encarts vous avez réussi à rendre votre propos parfaitement lisible et compréhensible.

        1. Avatar de scriiiptor

          Cool, on a hâte de lire ça !

          Et oui, les nouveautés de WordPress permettent un peu plus de souplesse graphique, et on va pouvoir faire un peu plus souvent des choses comme ça, des encarts, des apartés, des focus.
          On prépare aussi une newsletter qui contiendra du contenu exclusif et des réflexions encore plus personnelles, histoire de créer et maintenir du lien avec nos lecteurs sans forcément passer par les gros rezosocios.

  3. Avatar de Stephen Sevenair

    Passionnant article, merci !

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