Dar l’Invincible ou Le Maître des bêtes (en VO : The Beastmaster) est un film réalisé par Don Coscarelli et sorti en 1982.

Le début des années 1980, ce sont bien entendu les années « Barbares en pagne », et si Conan, le film de Milius sort du lot, d’autres films aussi laissent un bon souvenir comme Dar L’Invincible.

De Don Coscarelli on pourra retenir tout même la saga des films Phantasm et l’excellent Bubba Ho-tep avec Bruce Campbell/

La bande annonce de Dar l’invincible

Le résumé

Dar, fils du roi destiné à détruire le tyran des forces du mal d’après sa prophétesse, est marqué à la naissance avant d’être sacrifié, mais il est sauvé par un homme qui le ramène dans son petit village et l’élève comme son fils. Adulte, son petit village ainsi que sa famille adoptive sont détruis par l’armée du tyran. Seul survivant, il part à l’aventure dans le but de se venger, il devient un combattant qui sur son chemin rencontrera des alliés parmi lesquels des animaux (furets, aigle, tigre) avec qui il communique grâce à son don, la télépathie.

De bons souvenirs

Sans être un film génial et tout en souffrant des poncifs et clichés du genre, Dar l’Invincible a pour lui quelques bonnes choses.

L’histoire est classique : une histoire de vengeance contre un méchant sorcier-tyran pour libérer un royaume.

Les décors sont minimalistes, les costumes aussi. Mais la musique Lee Holdridge réussi a habiller le tout sans avoir à pâlir.

Dar l’Invincible a tout de même quelques très bonne idées, finalement peu vues. En particulier le pouvoir de Dar de communiquer par télépathie avec les animaux.

Animaux qui ont de beaux rôles. On gardera en mémoire les furets Kodo et Podo, et la panthère qui s’avère être plutôt un tigre noir (oui…).

Marc Singer dans le rôle de Dar, manque quelque peu de charisme, mais il est quand même bien secondé par la regrettée Tanya Roberts dans le rôle de Kiri et le costaud John Amos qui joue Seth. Et la fine équipe va affronter le génial Rip Torn dans le rôle du méchant sorcier Maax.

Chroniqué ailleurs aussi

https://www.psychovision.net/films/critiques/fiche/235-dar-linvincible