Étiquette : inspiration
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Lesbians Pulps : Entre fascination, censure et renaissance
Derrière des titres aguicheurs comme Strange Sisters ou Odd Girl Out, se jouait une bataille culturelle insidieuse : entre la censure, les préjugés et la quête d’une représentation sincère. Pour beaucoup de lectrices de l’époque, ces ouvrages constituaient la seule façon de se voir reflétées dans la fiction, même si c’était au prix d’une déformation…
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John Waters et jdr ? : mauvais goût, bons jeux
Né en 1946, il se passionne vite pour le cinéma underground et commence à tourner des films dès les années 60 avec sa troupe de fidèles, les Dreamlanders. Son credo ? Briser les tabous, choquer le bourgeois et célébrer les freaks.
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« Relax » de Frankie Goes to Hollywood : entre scandale, subversion et inspiration rôliste
Loin d’être un simple morceau de dance-pop, Relax incarne une certaine idée de la transgression dans la musique. Le groupe lui-même, mené par le charismatique et ouvertement gay Holly Johnson, s’inscrit dans une dynamique de provocation calculée, jouant habilement avec les limites de la bienséance pour marquer les esprits
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Marilyn Manson – Portrait of an American Family : naissance d’un monstre du Rock Indus
Musicalement, c’est un joyeux bordel. Une fusion toxique de metal industriel, de rock gothique et de punk crasseux, le tout enveloppé dans une ambiance de fête foraine dégénérée.
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Miss Marple et l’art du crime feutré
Miss Marple a connu plusieurs adaptations marquantes, notamment les interprétations de Joan Hickson (BBC, 1984-1992) et Geraldine McEwan (ITV, 2004-2007). Ces séries ont contribué à fixer l’image de la vieille dame curieuse, tricot en main, prête à dénouer les fils des intrigues les plus retorses.
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De Sven Hassel à Achtung! Cthulhu : Entre survie, horreur et fatalisme guerrier
Ses personnages arpentent les champs de bataille d’Europe, traversant des contextes historiques qui prêtent à débat quant à leur réalisme. Mais une fois cette part de fiction acceptée, il revient au lecteur de se laisser happer ou non par cet univers âpre et sans concession.
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Faster, Pussycat! Kill! Kill! – Chronique d’un film culte et inspirations rôlistiques
L’intrigue est aussi simple qu’efficace : trois femmes ultra-badass, Varla (Tura Satana), Rosie (Haji) et Billie (Lori Williams), écument les routes du désert californien au volant de bolides rugissants.
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Quand ton donjon a besoin de punk et ta cybercité de blues crasseux
Parce que les ambiances, c’est une affaire de feeling, pas de précision historique. La musique est une arme d’immersion massive, et franchement, un duel médiéval sur du Iron Maiden, ça claque plus qu’une flute à bec soporifique. Ce qui compte, c’est le rythme et l’intensité.
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Le grindhouse en jeu de rôle : quand l’excès devient un terrain de jeu
Avant de parler JdR, il faut comprendre ce qu’on met derrière « grindhouse ». À l’origine, c’étaient des cinémas de seconde zone, projetant en boucle des films à petit budget, souvent en double séance, avec des productions rapides et peu de censure.