Octobre arrive, et avec lui un drôle de mélange : des coccinelles musicales (surprise), du cinéma sulfureux qui flirte avec l’interdit, un certain Biggles en 1986, le cabaret qui vire burlesque, les voix hantées de Dead Can Dance, des échos de Lautréamont, et Lydia Thompson qui scandalise New-York et l’américain puritaine avec ses danseuses.
Ça, c’est le programme officiel.
Mais à côté, il y a ce que nous aimons vraiment : les détours imprévus. Des articles qui surgissent comme par enchantement, parfois sans prévenir, parfois au détour d’un lien cliqué par hasard. Rien n’est annoncé, rien n’est signalé. Pas de fanfare, pas de notification. Seulement le plaisir d’écrire, de semer des petits cailloux blancs dans nos propres pages.
Alors oui, on continue nos expérimentations. On joue avec notre propre site comme avec une table de jeu. Un mot, une image, un vieil article peut ouvrir une porte. Derrière ? Une surprise. Un texte inédit, un prolongement discret, un éclat de mémoire pop ou pulp.
Il ne faut pas hésiter à cliquer, à se perdre un peu dans nos archives. Octobre sera officiel, oui, mais aussi secret, mouvant, labyrinthique. Comme un cabaret enfumé, où derrière le rideau principal se cachent d’autres scènes, plus étranges, plus intimes.
Bienvenue dans notre mois d’octobre.
PS : cet article s’autodétruira dans quelques temps…
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