Le colis tant attendu… mais pas si longtemps que ça
Ce samedi, après une attente qui, soyons honnêtes, n’a finalement pas été si interminable que ça, Cthulhu : Origines a enfin atterri dans ma boîte aux lettres. Et avec lui, l’inévitable déballage fébrile. J’ai hésité à filmer une unboxing video, mais soyons sérieux : ce n’est pas vraiment mon truc. Peut-être un jour, si je m’organise… En attendant, quelques photos viendront ponctuer cette chronique pour accompagner ces premières impressions.
Un survol plus qu’un examen minutieux
Soyons clairs : cette chronique n’est PAS une plongée en profondeur dans la mécanique de jeu ni un test grandeur nature avec une équipe de joueuses et joueurs. Il s’agit plutôt d’un premier contact, une exploration à chaud, un survol des grandes lignes, avec ce qu’il faut de subjectivité, de curiosité et, forcément, d’un brin de scepticisme.






Entre attentes et premières sensations
-J’avais beaucoup apprécié Chroniques Oubliées Cthulhu, notamment son côté immédiat et efficace, qui plongeait rapidement dans l’action. Sa suite, Chroniques Oubliées Quintessences, bien qu’excellente, n’apportait pas forcément une révolution, mais plutôt une belle continuité.
Avec Cthulhu : Origines, on sent clairement un changement de ton. Adieu le côté pulp omniprésent de la première version, place à quelque chose de plus sombre et sérieux. Enfin… en théorie. Parce que malgré cette volonté affichée de noirceur, certaines illustrations conservent un vrai feeling pulp, avec des personnages forts, résilients, posant fièrement avec armes et détermination. Un contraste intéressant, qui donne parfois l’impression qu’on oscille entre l’horreur existentielle et l’action plus classique.




Autre point notable : la progression des personnages n’est pas représentée par des niveaux, et il n’y a pas de points de vie. Une décision audacieuse, qui semble vouloir accentuer la vulnérabilité des protagonistes… mais qui, paradoxalement, donne aussi l’impression qu’ils restent plutôt costauds et résistants, du moins sur le plan physique.
Un écran de MJ (enfin) lisible


Enfin, une mention spéciale pour l’écran du MJ : sobre, écrit en gros et clair, avec les infos essentielles bien visibles. Un vrai plus pour la lisibilité et l’accessibilité en cours de partie. Pour une fois, on n’a pas besoin d’un décodeur ou d’une lampe torche pour retrouver une règle au beau milieu d’une scène tendue !
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