Ils ont travaillé d’arrache d6 ! L’équipe de Studio 9 vient de pondre un nouveau jeu de rôle pour le système D6. Après avoir brillamment lancé Tecumah Gulch et son ambiance Western, Studio 9 nous propose maintenant CAMPUS.
Campus est comme les précédentes productions au format A5, avec une couverture couleur, et 138 pages.Vous pouvez vous procurer votre exemplaire en livre papier : 12€, ou en #pdf : 6€1 sur Lulu , The Book et RapideJdR. Studio 9 nous fais la promesse que Campus aura un suivi important sur leur blog.
Lisez donc le quatrième de couverture ci-dessous, et faites vous une idée.
Des robots géants attaquent la ville ? Des zombies sortent de terre sur le terrain de base-ball ? Les légendes sur le cimetière indien dans la forêt paraissent soudain un peu trop vraies ? Des nazis veulent ressusciter leur mentor et fonder le 4ème Reich en Californie ? Des extra-terrestres prennent possession des professeurs de l’université pour préparer l’invasion de la Terre ? Pamela se fait toujours enlever par des cinglés qui codent leurs messages secrets avec des annuaires téléphoniques ? Bienvenus dans Campus !
Vous l’aurez compris, Campus est un jeu qui se veut être un mélange caricatural des teenages movies, des séries B et Z, des mauvais films de kung-fu, des films d’horreur qui font rire au lieu de faire peur et autres productions navrantes qui ont déferlé dans les rayons des vidéo-clubs. Dieu les a d’ailleurs damnés en inventant le téléchargement internet. En tous cas, dans Campus on part du principe que « Buffy et les Vampires font un Massacre à la tronçonneuse sur le Boulevard de la mort le jour de l’Independance Day », ça c’est un synopsis digne de ce nom ! D’ailleurs, Angelopoulos c’est un minable comparé à Romero.
Dans Campus, les PJ sont des étudiants de l’Université de Kingley. Ils sont aux prises à toutes sortes d’ennemis : mafia d’Italiens ou de Russes qui parlent avec des accents pathétiques, terroristes ouzbeks qui ont trouvé une ogive nucléaire dans un sous-marin du Syr-Daria, malfrats qui tiennent leurs flingues sur le côté pour se donner un style, gangs d’asiatiques champions olympiques de karaté élevés dans des temples de moines shaolins, fous mégalomaniaques rêvant de conquérir le monde, sectes, démons venus de « failles extra-quelque chose », entités de toutes les couleurs (Petits-gris ou Grands-verts), serial killers… Bref, ici on prend au sens littéral l’expression « plus on est de fou et plus on rit ».
- attention à la TVA !!! ↩︎