L’Underground, c’est pas qu’un genre

Sur Scriiipt, l’Underground c’est tout ce qu’on n’ose pas trop mettre ailleurs : idées à la con, cul, musiques chelous, films tordus, drogues, jeux bricolés, textes hantés. Pas de morale, pas de pose. Juste ce qu’on fait quand on en a rien à foutre des règles du jeu.

On va pas jouer les poètes maudits.

L’Underground, c’est pas qu’une étiquette à coller sur un post Insta. C’est ce qu’on fait quand on en a rien à foutre des règles du jeu. Quand on a envie de parler de cul, de musiques chelous, de drogues, de films tordus, de trucs malsains — et de tout ce qui rend le jeu de rôle un peu plus vivant, un peu plus vrai.

C’est pas forcément “dark”, ni “trash” (même si des fois oui, un peu). C’est juste honnête (enfin on espère).

C’est quand t’écris un scénario sur une idée à la con, que tu fais un perso trop bizarre pour une table classique, ou que tu mixes Cthulhu avec un clip de Coil. C’est quand tu parles de sexe sans t’excuser, de politique sans tourner autour, ou que tu traites tes démons comme des PNJ.

Sur Scriiipt, on appelle ça l’Underground parce qu’on n’a pas trouvé mieux.

C’est là qu’on range tout ce qui sort du cadre : les idées foireuses, les obsessions, les envies qu’on ose pas trop mettre ailleurs. Des pages cachées, des jeux qui n’en sont pas vraiment, des textes qui sentent la sueur ou la poussière.

Pas de morale. Pas de pose. Pas de “contenu pour adulte” avec des guillemets.
Juste des trucs qu’on fait parce qu’ils nous travaillent, et qu’on sait pas trop où les foutre.

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