Séducteur invétéré, intrigant sans scrupule, le vicomte de Valmont aurait aujourd’hui son compte Instagram saturé de portraits en perruque et de maximes cyniques. Au XVIIIᵉ siècle, il régnait sur les salons comme une star des réseaux sociaux : on commentait ses conquêtes, on partageait ses lettres, on imitait son style.

Valmont, l’influenceur du XVIIIᵉ siècle ?
Valmont, l’influenceur du XVIIIᵉ siècle ?

Un playboy d’Ancien Régime

Pour certains, Valmont n’était qu’un libertin banal, multipliant les duels et les rendez-vous clandestins. Pour d’autres, il incarnait la quintessence du charme cruel : l’art d’obtenir une victoire amoureuse uniquement pour mieux la raconter ensuite.

Valmont, l’influenceur du XVIIIᵉ siècle ?

Un ancêtre des coachs en séduction ?

Comparer Valmont aux “gurus” modernes de la drague est tentant : mêmes recettes (flatterie, manipulation, promesse d’exceptionnalité), mêmes dégâts collatéraux. La seule différence : lui maniait la plume parfumée au lieu des vidéos YouTube.

Valmont, l’influenceur du XVIIIᵉ siècle ?

Utilisation en JdR

  • PNJ tentateur : Valmont peut servir de rival ou de mentor cynique.
  • Cible collective : défaire Valmont devient une quête en soi.
  • Source de scandales : ses lettres circulent, semant la discorde à chaque salon.
Valmont, l’influenceur du XVIIIᵉ siècle ?
Valmont, l’influenceur du XVIIIᵉ siècle ?


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